On continue notre tour d’horizon du monde de l’expatriation… Qui ne tourne plus très rond ! Avec pour escale, la ville de Dubaï, nouveau fief de l’aventure à l’étranger. Problème : la ville phare des Emirats Arabes Unis est un Eldorado à géométrie variable. Et l’argent , le « big money » un pas se-droit pour se loger. La preuve ? Cette année, les perle des Emirats est partie à la chasse aux expatriés en colocation. L’objectif : dé loger les petits salaires. Une politique « d’élitisation » dont même certains expatriés « middle-class » font les frais. Et si l’on s’en donne les moyens et qu’on fait preuve d’audace, l’argent peut y couler à flots !
Comme nous l’explique Clothilde, expatriée française a Dubaï, l’immobilier a perdu les pédales cette année dans l’Emirat. Une situation préoccupante pour les expatriés comme pour les candidats qui caressent, légitimement, l’espoir de faire fortune à Dubaï.
Clothilde, justement travaille dans une agence immobilière (un débouché éventuel pour les candidats au soleil). Selon elle, le déséquilibre entre l’offre et la demande explique l’envolée des loyers, exorbitants à Dubaï. Russes et Indiens fortunés entretiennent la flambée artificielle des prix.
Pour pérenniser « l’implantation des élites », la Municipalité a donc lancé la chasse aux expatriés en colocation, invoquant des raisons de salubrité publique.
Une situation ubuesque dans une ville dont le développement économique dépend étroitement de la présence des expatriés (80% de la population).
Que nous réserve l’Emirat et ses milliardaires pour l’année 2009 ? A coup sûr, des histoires… de gros sous !
Vous êtes intéressé par l’expatriation aux Emirats Arabes Unis, de Dubaï à Abou Dhabi ? Parcourez notre dossier complet sur l’expatriation au pays de l’or noir.
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