Deuxième volet de notre focus sur la création d’entrepise à l’étranger. Créer sa société « seul » est un mythe qui a vécu. Mieux vaut s’entourer de personnes compétentes pour appréhender les spécificités d’un marché local… Et « renifler » les tendances du moment. Bien accompagné, vous êtes prêt à affronter les vicissitudes de la création d’entreprise à l’étranger. Mais il reste une étape à valider : interagir à bon escient avec vos partenaires sur place. Alors, quelles méthodes employer pour mieux cibler votre niche commerciale et collaborer avec vos prospects ?
Comprendre le marché international : les chasseurs de tendance
Difficile de créer sa société à l’étranger « en solo ». Le « resourcing » est donc une étape essentielle à la réussite de vos projets. En d’autres termes, pas la peine de recruter des dizaines de personnes, il suffit de s’entourer d’éléments compé tents et fiables. Le moment est venu d’activer vos réseaux et de recruter un « chasseur de tendances », un spécialiste de la veille marketing qui saura « renifler » l’idée porteuse ou vous aidera à mieux cibler votre projet.
La gestion interculturelle : enjeu « capital »
Le capital confiance se bâtit aussi sur votre compréhension du marché cible et surtout, sur vos interactions avec les interlocuteurs étrangers. Par exemple, créer son entreprise ou sa filiale au Japon ne va pas sans comprendre le fonctionnement de la culture japonaise. Il en va de même pour les autres pays, et surtout les pays émergents, comme les Émirats Arabes Unis ou le Qatar. Être capable « d’empathie » permet de mieux anticiper les attentes d’un prospect, et surtout, de lui monter que vous respectez sa culture…
Retrouvez ici le premier volet de notre focus « création d’entreprise à l’étranger ».
Pour plus d’informations, jetez un coup d’oeil à cet article consacré aux chasseurs de tendances.
Et ici, des conseils sur la gestion des relations professionnelles au Japon.