Expatriation.com vous fait découvrir le troisième et dernier extrait de son guide pratique « Travailler au Canada », quelques jours avant sa mise en ligne (voir ici les premier et deuxième extrait). L’occasion de faire escale à Toronto, en compagnie de Lisa Védère-Jeannet. Après un an et demi de démarche, cette jeune consultante web (jetez un coup d’oeil à son blog qui vaut le détour) a choisi la capitale de l’Ontario pour s’installer avec son mari. Elle y cherche actuellement du travail et nous livre ici quelques conseils de première-main. Retrouvez prochainement son témoignage en intégralité dans notre guide !
« Expatriation.com – Avant de vous installer à Toronto, aviez-vous étudié préalablement le marché de l’emploi sur place ?
Lisa Védère-Jeannet – Nous avons mis 1 ans et demi avant d’obtenir notre visa de résident permanent alors autant vous dire que nous avions eu le temps de nous renseigner quasiment sur tout ! Les forums sont d’une aide précieuse lorsqu’on a une question précise sur telle ou telle chose. Concernant le marché de l’emploi, nous savions qu’il y avait du travail à Toronto mais que ça ne serait pas forcément facile de trouver quelque chose dans notre branche dès le début. Ici il faut un réseau ou de l’expérience canadienne. (…) On prend donc des petits boulots en attendant qui nous permettent d’avoir la fameuse expérience canadienne et prétendre à des boulots dans notre branche. On dit toujours que si l’on souhaite faire carrière, il faut venir à Toronto !
Quel niveau d’anglais est requis dans une ville anglophone comme Toronto pour trouver du travail ?Je dirais que pour trouver un travail pas trop mal payé pour démarrer (type call center) il faut clairement être bilingue. Et pas le « bilingue » qu’on inscrit sur notre CV en France en se disant que de toute façon personne ne viendra nous interroger en anglais, non vraiment parler un excellent anglais. Ici on ne vous fait pas de cadeaux, tous les entretiens sont en anglais intégral et souvent les gens parlent très vite.
Quels sont les métiers en demande et les secteurs porteurs sur place ?Pour les secteurs porteurs, il y a très souvent tout ce qui touche au médical (infirmières par exemple) ou des métiers type boucher ou mécanicien par exemple. En fait il faut se fier à la liste des métiers fournis par le gouvernement du Québec qui représentent les métiers en forte demande au Canada. En plus si votre métier y figure, vous aurez la chance d’obtenir votre visa en 6 mois ! »
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Nous avons mis 1 ans et demi avant d’obtenir notre visa de résident permanent alors autant vous dire que nous avions eu le temps de nous renseigner quasiment sur tout ! Les forums sont d’une aide précieuse lorsqu’on a une question (torontois.com
en tête) précise sur telle ou telle chose.
Concernant le marché de l’emploi, nous savions qu’il y avait du travail à Toronto mais que ça ne serait pas forcément facile de trouver quelque chose dans notre branche dès le début. Ici il faut un réseau ou de l’expérience canadienne. C’est donc mission impossible quand on est nouveaux arrivants. On prend donc des petits boulots en attendant qui nous permettent d’avoir la fameuse expérience canadienne et prétendre à des boulots dans notre branche.
On dit toujours que si l’on souhaite faire carrière, il faut venir à Toronto !