Malgré le succès du programme Erasmus, la mobilité des étudiants français est en baisse de 25% sur la pé riode 2000-2006. Moins nombreux, les candidats partent étudier de plus en plus loin : souvent un galop d’essai avant l’ expatriation proprement dite.
Une année à l’étranger est toujours une occasion unique pour découvrir un pays avant, pourquoi pas, de s’y expatrier. C’est d’ailleurs ce que font de nombreux étudiants, à l’image de cette blogueuse désormais installée en Chine.
Malgré la diversification des programmes d’échanges universitaires, les chiffres de la mobilité internationale sont plutôt en berne : c’est ce qui ressort d’une étude réalisée par l’Agence Campus France.
Si la population étudiante a augmenté de 9% entre 2000 et 2006, la mobilité internationale est en baisse de 25% sur la même période. Cette situation s’explique avant tout par l’absence de programme de bourse spécifique (dans 80% des cas) .
Le boom d’Erasmus
Pleine santé en revanche pour le programme Erasmus, qui concerne la mobilité dans les pays de l’UE. Il bénéficie à près de 30 000 français chaque année, soit près d’un tiers des étudiants.
Si la France est un peu à la traîne, elle n’est pas la seule. La baisse des chiffres de la mobilité des étudiants concerne la majorité des pays d’Europe.
Vous voulez passer une année universitaire à l’étranger mais vous ne pouvez pas financer votre séjour ? Retrouver sur le site de l’association Egide des informations sur les aides dont vous pouvez bénéficier.
N’oubliez pas de jeter un coupe d’oeil au site de l’Agence Europe Education Formation France pour obtenir des informations sur l’ensemble des programmes européens de mobilité étudiante (Erasmus, Socrates, Comenius, Leonardo de Vinci).
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