Faire un break dans sa vie professionnelle pour partir à l’étranger n’est pas forcément synonyme de vacances. Il implique une longue coupure avec son travail et généralement une absence de rémunération, contrairement aux congés payés. Si un congé sabbatique ou un congé solidaire permettent de réintégrer son poste après quelques mois d’absence, le retour s’envisage différemment après une démission ou un licenciement.
C’est pourquoi un départ à l’étranger, même s’il ne dure que quelques mois, nécessite d’être bien défini à l’avance pour éviter de vous retrouver démuni lors de votre retour en France.
Quels qu’en soient les buts : visiter les capitales du mondes, échanger son savoir-faire avec des entrepreneurs étrangers, améliorer son anglais, faire le tour du monde en vélo, partir en congé humanitaire ou faire une retraite spirituelle, vous pouvez, d’une façon ou d’une autre, faire fructifier votre projet qui sera une vraie valeur ajoutée sur votre CV.
Côté pratique, il suffit de bien définir à l’avance la question du financement (crédit, ressources personnelles, sponsor ?), l’itinéraire si vous avez projeté de faire le tour du monde et d’effectuer un certain nombre de démarches à l’avance : visas du ou des pays dans lesquels vous avez prévu de vous rendre, vaccins, scolarité des enfants si vous en avez…
Dans un premier temps, nous allons vous informer sur les démarches à accomplir avant de partir.